Ceux qui font souffrir des animaux dans des laboratoires ou dans des élevages industriels peuvent invoquer pour leur défense qu’ils n’agissent pas pour leur plaisir mais poussés par certaines nécessités.
En corrida, au contraire, c’est pour divertir le public qu’on torture à mort des êtres sensibles.
En outre, la corrida est la seule activité humaine où torture et mort violente sont vantées, exaltées, élevées au rang des beaux arts. C’est pourquoi la corrida est un foyer, un vecteur, une école de sadisme.