Le 7 juin, le COLBAC était mobilisé à Béziers, au cœur des allées Paul Riquet, à l’occasion de la Journée nationale contre la corrida.
De nombreux tracts ont été distribués pour rappeler la réalité de la corrida.
De nombreuses signatures ont été recueillies pour la pétition du CRAC Europe, qui appelle à ne pas voter pour un maire favorable à la corrida lors des élections municipales de 2026.
Des échanges avec les passants ont permis de déconstruire les arguments des partisans de la tauromachie et expliquer la violence de la corrida.
Un grand merci aux associations CRAC Europe, One Voice, Alliance Éthique Sète et Animal Save pour leur présence à nos côtés. Merci également à Thierry Antoine, élu municipal d’opposition à Béziers, pour son soutien et sa volonté d’en finir avec la souffrance animale dans les arènes.






Thierry Antoine, élu de Béziers (EELV).
Journée nationale contre la corrida à Paris


Photos ©Caroline Hallier
À l’occasion de cette 4ᵉ Journée nationale contre la corrida, les associations One Voice et Alliance Éthique Montpellier ont organisé une grande marche à Paris pour dire STOP à la corrida. Des militants venus de nombreuses villes taurines, rejoints par d’autre arrivant de Lyon, Bordeaux, Limoges, Caen et bien d’autres encore, se sont rassemblés aux côtés de plus de 30 associations, présentes ou représentées.
Le cortège a parcouru près de 8 kilomètres, de la gare d’Austerlitz jusqu’à la place Saint-Sulpice, avec une halte symbolique aux arènes de Lutèce.
Là, le CRAC, le COLBAC et One Voice ont pris la parole pour dénoncer fermement la barbarie des corridas et le prosélytisme que constitue la pratique du « toreo de salon » organisée dans ces mêmes arènes. Paris affirme son refus de la corrida, ici comme partout ailleurs.
Prise de parole de S. Maffre-Baugé
Le COLBAC était présent pour dénoncer l’instrumentalisation de l’espace public, l’argent public qui continue de financer les corridas, l’inaction des pouvoirs publics, le manque de courage politique, et le maintien d’une pratique dont la cruauté constitue un délit pénal.
Photos ©Caroline Hallier


