» Vous n’avez rien de mieux à faire que d’agir contre les corridas ? N’y a-t-il pas de causes plus importantes ? » nous lance-t-on souvent.
La meilleure des causes, c’est la lutte contre la souffrance universelle. Sous toutes ses formes, animales et humaines, faibles ou fortes.
Certains estiment que l’espèce humaine, espèce supérieure, a raison de tout se permettre envers les espèces inférieures. C’est oublier que la force ne crée pas le droit. À supposer que l’homme soit vraiment supérieur aux bêtes, cette supériorité ne lui donne aucun droit. Elle nous crée seulement un devoir de pitié, de respect et de protection envers les faibles.