La corrida, spectacle sulfureux, très controversé, rejeté par la majorité des Français, de surcroît déficitaire même dans les grandes arènes, ne survit que grâce à l’aide financière et au soutien politique des élus locaux, régionaux et nationaux.
Quelles raisons les politiciens ont-ils de soutenir à bout de bras une pratique qui grève les finances publiques et qui heurte les citoyens électeurs ?
L’approche des élections municipales est une bonne occasion d’interpeller les candidats à la mairie, de connaître leur position sur la tauromachie et d’obtenir qu’ils s’engagent à ne plus la soutenir.
Tel sera le sujet traité à la 3ème session de l’université d’automne du Colbac.