Peut-on continuer à applaudir la souffrance d’un animal ?

Publié le 14 mars 2021

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une femme et une pancarte

Deuxième mobilisation de l’année, devant les arènes, ce samedi 13 mars. 

Nous demandons que les corridas ne soient plus autorisées à Béziers. 

Nous voulons faire émerger la question de la souffrance des animaux d’arènes dans le débat public biterrois. 

Erigée en spectacle , l’agonie d’un animal n’est plus acceptable.  

Nos visuels ont dénoncé : 

  • la barbarie d’une pratique qui consiste à blesser jusqu’à la mort des animaux sensibles avec des armes tranchantes,
  • la nécessité de préserver les enfants de l’exposition aux scènes de cruauté envers les animaux, 
  • l’image de Béziers abîmée par la tauromachie sanglante. 

Devant la banderole « Béziers, ville de culture taurine » installée par les défenseurs de la tauromachie quelques heures avant la manifestation, nous avons tendu un grand drap tâché de faux sang : il symbolise la cruauté de la corrida où le vrai sang animal (et parfois humain ) est omniprésent. 

ue femme et une pancarte
un groupe de personnes
Mobilisation devant les arènes de Béziers, 13 mars 2021 ©COLBAC

à propos

Le COLBAC a pour but final l’abolition de la corrida. Nous nous opposons à la propagande et à la désinformation du milieu taurin, ainsi qu’à la justification de la torture animale comme relevant d’un art ou d’une tradition encore acceptable.

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