Après les becerrada, c’est le degré suivant de l’apprentissage.
Ce spectacle utilise des » erales » (taurillons de deux ans).
Les animaux sont travaillés au capote, banderillés, puis tués à l’épée et au poignard.
Vu l’inexpérience et la maladresse des apprentis tueurs ces exécutions sont souvent d’horribles boucheries. Il n’est pas rare qu’un eral reçoive plusieurs dizaines de coups d’épée et de poignard avant d’expirer.
Après une dizaine au moins de novilladas sans picadors, l’apprenti torero peut participer à des novilladas piquées.